La colère des copropriétaires .. La honte d'un Bureau !

Publié le par RYAD AL HAMD

Explosion de colère des copropriétaires dans la cour de la Résidence .....

 

Pour Rappel : Traduction en français de l'avis remis par le Syndic.

"TRES IMPORTANT !!!
Nous informons l'ensemble des habitants de la Résidence immeubles 3,4,5,6 que le Bureau du Syndic a présenté sa démission.
La majorité des habitants se sont absentés lors des deux Assemblées du 22 Août et du 20 septembre 2013.
Pour cela et parce qu'il n'y a pas de bénévoles pour faire le Syndic, les ascenseurs seront arrêtés, le contrat avec la société de gardiennage et nettoyage sera résilié, l'eau et l'électricité coupés pour toutes les parties communes, garage, jardin, escaliers, et ce, à partir de la date de publication de cet avertissement.
Une Assemblée Générale aura lieu le vendredi 27 septembre 2013 à 21h00. La présence est obligatoire."


Mercredi 25 septembre 2013 en fin de soirée, un Syndic mal attentionné et totalement irresponsable a pris la décision de mettre à l'arrêt l'ensemble des ascenseurs des immeubles 3,4,5,6 condamnant ainsi tous les copropriétaires de la résidence à devoir se passer d'un droit essentiel pour lequel du reste les charges sont payées.
Le Syndic n'a aucun mandat des copropriétaires pour décider à lui seul de telles mesures et adopter un comportement terroriste en prenant en otage la communauté des copropriétaires.
Il ne s'agit pas de manque d'argent pour payer les divers contrats décidés par les Assemblées puisque cet argent existe bien sur le Compte Courant du Syndic.
Il ne s'agit que de la folie de membres élus qui du reste ont fait valoir leur démission, ce en quoi nous ne pouvons que les remercier de partir et souhaiter qu'ils ne se représentent plus comme ils en ont l'habitude.
Il est intolérable de voir que quelques individus se mettent hors la loi en s'attribuent des pouvoir que personne ne le a donné.
Ce n'est plus une démission qu'il faut accepter mais plus une révocation qu'il faut exiger.
Le préjudice que nous subissons par un bureau qui n'a aucune compétence et se place désormais hors du cadre légal est tout simplement scandaleux.
Les éventuels problèmes liés à la non présence à des Assemblées -du reste si mal convoquées- ne peuvent aucunement décider un bureau a faire un tel chantage par écrit mais aussi de le mettre en pratique.
Seule une Assemblée générale statuant dans des conditions normales de quorum et de majorité aurait pu adopter de telles décisions, et encore, celles-ci auraient pu être contestées par un recours en justice.
la dictature imposée à tous les copropriétaires se doit de cesser immédiatement et nul besoin d'un délai pour cela. La pression qui tend à faire durer cette situation jusqu'à la date de cette Assemblée Générale du vendredi 27 septembre à 21h00 n'est pas de mise.
On notera que dans la continuité de sa folie, le bureau avise les copropriétaires d'une Assemblée Générale ni (ordinaire ni extraordinaire) pas moins de 4 jour avant sa tenue.
La Présidente de ce Syndic est responsable à ce titre des agissements inqualifiables que nous devons supporter. Les membres du bureau qui ont pu cautionner la mise en application de mesures coercitives illégales sont tout aussi responsables.

Le Bureau du Syndic se forme des personnes suivantes (PV d'Assemblée Générale Elective du 07 juin 2013) :
1/ Mme. BELABID Jamila (PRESIDENTE)
2/ Mlle. ELLAMI ELOUADRASSI Sara (VICE PRESIDENTE)
3/ Mr. BERRQIA Adil (TRESORIER)
4/ Mr. HJIAJ Youssef (TRESORIER ADJOINT)
5/ Mme BENSAID - DENDANE Fatma (SECRETAIRE GENERALE)
6/ Mr. ELAMRAOUI Mohamed (CONSEILLER)
7/ Mr. ABDELFETTAH Jabri (Conseiller)

Nous ne pouvons pas les remercier de la confaince que nous avions pu placer en eux et qui consistait à une bonne gestion de la Résidence car ils ont outre passé le cadre de leurs attributions.
Souhaitons que des personnes raisonnables et respectueuses de la loi et des règlements relatifs à la tenue d'un syndic prennent rapidement la relève d'un bureau enfin démissionnaire qui a fait montre de son incapacité à gérer pour en arriver à se conduire comme des preneurs d'otages.

 

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